Cet été pour la première fois, je suis retournée à la piscine extérieure, en bikini !

« Puis un jour, j’ai réalisé que j’étais grosse »… Ute vit une crise personnelle et prend 25 kg en deux ans. Des problèmes de santé apparaissent. Le jour où elle réalise qu’elle doit agir, elle se souvient de Precon.

Ma motivation

En réalité, je n’avais jamais été en surpoids avant. J’ai rencontré des problèmes personnels il y a environ quatre ans et j’ai cessé de prendre soin de moi. Plats cuisinés, pizzas surgelées, sucreries, frites le soir rythmaient alors mon quotidien alimentaire. Je mangeais par frustration. À un moment donné, je ne rentrais plus dans mes vêtements et quand j’allais faire du shopping, je quittais souvent les magasins dans la précipitation. Faire du sport était devenu impossible à cause de douleurs articulaires au niveau des genoux et des hanches. Puis après Noël 2017, ce fut le choc lorsque je vis mon poids s’afficher sur la balance. Et là, je me suis dit : maintenant, il faut vraiment perdre du poids.

Mon programme

J’avais pris ma décision et j’étais prête à tout. Néanmoins, la phase de démarrage s’avéra assez difficile. Mais après deux jours, les choses se sont améliorées et j’ai réussi à suivre rigoureusement le régime. J’apprécie tout particulièrement les soupes, comme par exemple le velouté de tomates. Par chance, mes deux filles (16 et 23 ans) m’ont beaucoup soutenue.

Manger et vivre en pleine conscience

J’ai appris à me concentrer sur un objectif. Aujourd’hui, je mange les choses dont j’ai envie et je sais m’arrêter quand je suis rassasiée. Il ne m’a fallu que 2 à 3 semaines pour retrouver cette sensation naturelle de plénitude. Je prends plus de temps pour cuisiner et je prépare des plats plus sains contenant plus de légumes et de salade. Il existe tellement de délicieuses recettes que je n’ai pas l’impression de me priver de quoi que ce soit. Et malgré tout, je me régale !

MES CONSEILS Quand je quitte la maison, j’emporte toujours avec moi des barres Precon. Je les aime beaucoup. Les tentations existent et parfois, je m’autorise quelques écarts. Au bureau, par exemple, il y a toujours des sucreries et, à Noël, des biscuits de Noël et des « Dominosteine ». Pour résister, je me prépare un shake chaud à la vanille avec des épices de pain d’épices et de la cannelle. C’est mon produit spécial Noël.

Il faut se faire plaisir

Avant, je m’autorisais un petit plaisir un jour par semaine. Cela a changé avec le temps car je n’en ai plus du tout eu besoin. D’une certaine manière, une part de gâteau n’est plus aussi tentante qu’avant. Maintenant, lorsque je fais des écarts, je fais de l’exercice physique pour compenser.

Ma réussite

Je ne sais même pas quel est mon plus grand succès ! Peut-être réside-t-il dans le fait que je me sens vraiment mieux et que les autres le ressentent. Ma transformation a été telle, que je me reconnais à peine sur mes anciennes photos. Je peux à nouveau pratiquer du sport et j’ose retourner nager.

Joie de vivre à létat pur

Et bien sûr, il y a le succès mesurable : je pèse aujourd’hui 69 kg et je porte du 38-40 ! Avant c’était du 44. Mon objectif est d’atteindre 65 kg. Il ne manque pas grand-chose. La perte de poids est plus lente vers la fin, mais j’ai réussi le plus important : j’ai appris à faire les choses pour moi-même. J’ai perdu beaucoup de poids et j’ai gagné beaucoup en termes de joie de vivre !